Le 09 juin 2006 à 18h, le match d’ouverture de la 18ème session de football a opposé l’Allemagne au Costa Rica à Munich sur la pelouse d’ Allianz Arena. C’est l’Allemagne qui est l’organisateur de cette compétition sportive mondiale. Cela, m’a rappelé la 8ème session qui a été organisé par l’Angleterre en 1966 à l'époque où l'homme n'a pas mis encore les pieds sur la lune.
Si on s’amuse à comparer les deux sessions, on constatera que dans l’espace de quarante ans tout a changé, même l’écran de la télévision, qui était noir et blanc, est devenu en couleurs.
Si on compare 1966 et 2006 , on peut dire qu’en 40 ans, l’Europe Occidentale truste et domine l’organisation de la coupe du monde en football : 6 organisations sur 12. Le nombre de pays adhérents à la FIFA a quadruplé.
Le nombre d’équipes et de match de la phase finale a doublé. Le nombre de stades des compétitions a augmenté de 50%. Quant au vainqueur et au nombre de buts, on ne peut pas les comparer actuellement, il y a des points d'interrogation en 2006.
Seul, le Président de la FIFA, Joseph S. Blatter (dont 4.050.000 internautes à Google et 9.749 à blogger en parlent à l’ instant des préparatifs) pourra les savoir car il est fort en pronostics: bien sûr, leurs ratios subiront une augmentation.
Son équipe de Suisse aborde sa huitième participation dans une phase finale de la Coupe du monde avec un objectif secret: égaler son meilleur résultat, une accession en quart de finale chez elle en 1954.
Ce qui est sûr, c'est que plus d'un milliard de téléspectateurs vont suivre la finale de cette coupe. Mais, n'oublions pas que suite aux erreurs monumentales qu'a commises Monsieur Joseph Blatter dans sa gestion des préparatifs à cette coupe, les peuples du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, étaient privés de la retransmission directe et totale de ce beau spectacle.
Avec ce comportement commercial, monsieur Blatter n'était pas digne de la reconnaissance des joueurs dont la majorité est originaire du peuple. A savoir qu'il est né à Viège en Suisse, il fit ses études à Sion et à Saint-Maurice avant d'obtenir un diplôme de commerce et d'économie à la faculté de droit de l'université de Lausanne.
D'autre part, on peut affirmer que tous les canaux dotés d'un pouvoir discrétionnaire ont commencé à s'intéresser sérieusement à cette grande manifestation selon l'ordre chronologique suivant:
- au début, c'était le canal du sport
- ensuite, le canal du politique a remplacé son précédent
- puis, le canal commercial devient géant et a monopolisé cette coupe
- enfin, en 2006, c'est le canal religieux qui essaie de s'imposer, puisque on avait appris que le cardinal Karl Lehmann, président de la Conférence épiscopale allemande a déclaré la semaine dernière aux journalistes "En tant qu'Eglise, nous voulons contribuer au succès de la Coupe du monde et témoigner de notre hospitalité envers le monde".
D’ailleurs, le jour d'ouverture, les Eglises protestantes et catholiques romaines allemandes ont célébré un service œcuménique en l'église Notre-Dame de Munich. En plus, les rencontres étaient retransmises sur de grands écrans dans les paroisses.
Elles ont toutefois averti que la coupe du monde ne devait pas autoriser les commerces à rester ouverts le dimanche et les jours fériés.
A l'époque, tout le monde a espéré l'Eglise gagnera le pari et les matchs seraient retransmis aux peuples des pays privés de participer directement et entièrement à cet évènement exceptionnel que l'histoire ne reproduira pas.
Si on s’amuse à comparer les deux sessions, on constatera que dans l’espace de quarante ans tout a changé, même l’écran de la télévision, qui était noir et blanc, est devenu en couleurs.
Si on compare 1966 et 2006 , on peut dire qu’en 40 ans, l’Europe Occidentale truste et domine l’organisation de la coupe du monde en football : 6 organisations sur 12. Le nombre de pays adhérents à la FIFA a quadruplé.
Le nombre d’équipes et de match de la phase finale a doublé. Le nombre de stades des compétitions a augmenté de 50%. Quant au vainqueur et au nombre de buts, on ne peut pas les comparer actuellement, il y a des points d'interrogation en 2006.
Seul, le Président de la FIFA, Joseph S. Blatter (dont 4.050.000 internautes à Google et 9.749 à blogger en parlent à l’ instant des préparatifs) pourra les savoir car il est fort en pronostics: bien sûr, leurs ratios subiront une augmentation.
Son équipe de Suisse aborde sa huitième participation dans une phase finale de la Coupe du monde avec un objectif secret: égaler son meilleur résultat, une accession en quart de finale chez elle en 1954.
Ce qui est sûr, c'est que plus d'un milliard de téléspectateurs vont suivre la finale de cette coupe. Mais, n'oublions pas que suite aux erreurs monumentales qu'a commises Monsieur Joseph Blatter dans sa gestion des préparatifs à cette coupe, les peuples du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, étaient privés de la retransmission directe et totale de ce beau spectacle.
Avec ce comportement commercial, monsieur Blatter n'était pas digne de la reconnaissance des joueurs dont la majorité est originaire du peuple. A savoir qu'il est né à Viège en Suisse, il fit ses études à Sion et à Saint-Maurice avant d'obtenir un diplôme de commerce et d'économie à la faculté de droit de l'université de Lausanne.
D'autre part, on peut affirmer que tous les canaux dotés d'un pouvoir discrétionnaire ont commencé à s'intéresser sérieusement à cette grande manifestation selon l'ordre chronologique suivant:
- au début, c'était le canal du sport
- ensuite, le canal du politique a remplacé son précédent
- puis, le canal commercial devient géant et a monopolisé cette coupe
- enfin, en 2006, c'est le canal religieux qui essaie de s'imposer, puisque on avait appris que le cardinal Karl Lehmann, président de la Conférence épiscopale allemande a déclaré la semaine dernière aux journalistes "En tant qu'Eglise, nous voulons contribuer au succès de la Coupe du monde et témoigner de notre hospitalité envers le monde".
D’ailleurs, le jour d'ouverture, les Eglises protestantes et catholiques romaines allemandes ont célébré un service œcuménique en l'église Notre-Dame de Munich. En plus, les rencontres étaient retransmises sur de grands écrans dans les paroisses.
Elles ont toutefois averti que la coupe du monde ne devait pas autoriser les commerces à rester ouverts le dimanche et les jours fériés.
A l'époque, tout le monde a espéré l'Eglise gagnera le pari et les matchs seraient retransmis aux peuples des pays privés de participer directement et entièrement à cet évènement exceptionnel que l'histoire ne reproduira pas.
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