Par un beau jour de l'été, je crois que c'était un samedi du mois d'août. C'était un jour pas comme les autres, je me suis réveillé vers l'aube et je me suis dirigé, sans me rendre compte, à la plage et plus exactement vers le rocher des pêcheurs.
Sur ce lieu, plusieurs barques sont disposées, les unes contre les autres, sur le sable d'une manière alignée. Là, j'étais surpris par la présence, tout seul, d'un pauvre pêcheur barbu, assis sur un rocher, en face de la mer et en train de pleurer comme un enfant qui a raté son admission en classe supérieure et n'a pas réussi son examen en subissant un échec.
En me voyant, notre ami a essuyé, avec ses mains, ses larmes qui tombaient sur ses joues. Je l'ai salué et, à son tour, il me salua. Puis, je lui ai demandé s'il me permette de m'asseoir à côté de lui. Gentiment et d'une façon aimable, il me répondit positivement en me disant que cela ne le dérangea pas. Alors, cela m'encouragea à lui poser la question suivante:
- Pourquoi mon ami pleures-tu à cette heure-ci et à cet endroit là et à ce moment précis?
- C'est une longue et triste histoire et je te la raconterai un de ces jours prochains, riposta-t-il
- Bon, tu auras la gentillesse d'accepter mon invitation à un petit déjeuner au café le plus proche, lui demandai-je
- Volontairement et avec plaisir, répondit-il en acceptant mon invitation
Puis nous nous dirigeâmes, tous les deux, vers un petit café dont la terrasse est en face de la mer. Mais malheureusement nous n'étions pas servis parce que ledit café n'ouvre ses portes et présente ses services qu'à partir du huit heures du matin.
Devant, cette situation, nous nous retournâmes, le pauvre pêcheur et moi à notre place initiale, sur le rocher, en face de la mer.
............En cours...........
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire